Dès 35/40 ans en fonction de notre constitution physique et des métiers exercés, de petites douleurs s'installent (lordoses, lombalgies...) et la préparation physique nécessite plus de temps, un rythme plus lent et un travail plus en profondeur sous formes d'étirements ou de  renforcements musculaires. Les chutes et les déplacements à genoux demeurent facultatifs ou occasionnels et les modes d'entraînements plus exigeants en intensité et en endurance, aménagés. (kakari geïko, randori...) 

Dès 50 ans cette 2° formule de pratique devient obligatoire, les chutes sont alors interdites et la partie technique en tachi waza ( Tori et Uke debouts) privilégiée (y compris les saluts). Vers 60 ans (séniors) le travail au sol sera progressivement abandonné, notamment chez les vétérans, l'objectif prioritaire étant de sa maintenir en forme physiquement et mentalement en conservant le plus longtemps possible la souplesse et la vitalité.

Bien entendu, ces aménagements se doivent d'être compatibles avec la pratique d'une activité sportive et de loisirs à but non compétitif (pas de champions à préparer) et ne présenter aucune pathologie lourde ou l'usage de prothèse ou d'appareillage externe (avis médical obligatoire)